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c'est la cata....1h30 de sortie ce matin avec Eliot et Heden......rien du tout...triste fin de saison...

ce serait bien le debut d une remontee des pigeons et grives en direction du nord sortie d une heure avec le setter un lievre pas vu de becasse mais des collègues en voient 4 changement de coin avec le breton 4 levees avec 2 beaux arrêts super

ce matin 2 h 30 de chasse pas d'oiseau RAS

mes chiennes ce sont amusées avec un faisan une bonne demi heure dans les ronces et les buis il se faufilait comme une bécasse c'est ma jeune IRIS qui l'a levé deux fois

encore deux jours de chasse samedi et dimanche et ce sera fini pour la saison en février je sortirais les chiens pour l'entrainement car les concours field trial de printemps vont recommences

il faut classer IRIS en travail
à samedi pour les belles des bois

aujourd'hui 4h de chasse avec dona et léda,vers 11h arrêt de dona dans un roncier,puis elle coupe son arrêt et fonce 1,2,3,4 faisans décollent dans un fracas inimaginable,les 2 chiennes les poursuivent un petit moment puis je les rappelle et dona de nouveau bloquée pratiquement a mes pieds,1 gros coq démare,je l'ai mis en joue pour le plaisir.beau travail de dona assistée de la jeune léda

Chassé 2h cet après-midi par une journée printanière. J'ai pris mon jeune pointer et je suis allé faire des places dans un tertre qu'on hésite à faire car escarpé, caillouteux au milieu des buissons noirs, genièvres et petits chênes. Après une montée abrupte, dans un taillis, mon jeune chien commence à fouetter et plante un arrêt. J'arrive à sa hauteur, il coule sur quelques dizaines de mètres, j'essaie de le suivre...mais rien. On repart vers la lisière du taillis et là, il me plante encore un arrêt ferme. Je m'approche en vitesse, je me place et...fla-fla suivi d'un coup de fusil qui arrête net le vol de la bécasse. En plus de ça, il me la rapporte car elle était tombée dans des ronces. Je ne sais pas qui était le plus heureux entre mon jeune pointer et moi. J'ai continué de faire le flanc du tertre. Un peu plus loin, dans les genièvres, un autre arrêt aussi ferme que le premier. Je me place en face de mon chien puis il se met à couler, à couler. Je le suis mais sans succès ce coup-ci. Elle a du partir sans que je la vois ou l'entende. Il est 5h, on rentre. Je suis crevé et trempe mais heureux du travail de mon jeune chien.